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Nadir Aliev - Symphony in colors - documentary film was made by ITV at 10.12.2014, in Bakou, Azerbaidjan, about Nadir Alliev oustanding, genial painter.

Nadir Aliev artiste peintre Renaissance par Serge Bespaly volume 2.

En langue française.

Livre édité en fin de décembre 2013 sous l'égide de l'association Adilia Alieva dans l'ASB Edition - catalogue consacré à la série des «Fleurs porte-bonheur"-  format  A4 et 42 pages, illustré de 52 œuvres et des photos ancien de famille de Nadir Aliev reproduites pleine page en couleurs  sur papier photo brillant  de 180g. Avec des Articles des critiques d'art. Etat neuf. Livraison rapide et soignée.

Le prix 29€ + frais de livraison. Pour acheter cette catalogue envoyer e-mail au : sbam11@hotmail.com

Nadir Aliev artiste peintre Renaissance par Serge Bespaly volume 1.

En langue française.

Livre édité en 2013 sous l'égide de l'association Adilia Alieva dans l'ASB Edition - catalogue de l'exposition du 25 novembre au 10 décembre  2013 dans la Hall de la mairie d'Annemasse consacré à la série des «Fleurs porte-bonheur"- catalogue d'expo format  A4 et 42 pages, illustré de 49 œuvres et des photos ancien de famille de Nadir Aliev reproduites pleine page en couleurs  sur papier photo brillant  de 180g. Avec des Articles des critiques d'art  et l'histoire de la vie de peintre. État neuf. Livraison rapide et soignée.

Le prix 29€ + frais de livraison. Pour acheter cette catalogue envoier e-mail au : sbam11@hotmail.com

 Emission TVM2 Meander  23 05 2013, about Nadir Aliev exhibition on Valetta Malta  which take place from 19 April to  05 may 2013 in Auberge d'Italy by invitation of Ministry of Tourism of Malta.

Emission " Breakfast News" on  ONE TV MALTA on 24.04.2013 about Exhibition of Paintings by Nadir ALIEV  on 19.04.2013    -05.05.2013 at Auberge d'Itallie in Valletta / Malta

NADIR ALIEV

               Le peintre ne traduit pas le monde tel qu’il le voit, mais tel qu’il le sent. Les apparences sont donc avant tout pour lui l’axe autour duquel s’enclenchent et se développent les signes de sa perception. Et cette perception ne procède pas de la simple intuition. Elle est une question de sens, liée à un dialogue passionnément subjectif, car c’est par les effets de cette subjectivité que l’artiste rend les choses objectives, les dévoile et les révèle.

            Nadir Aliev est bien un révélateur. Un révélateur d’images éloquentes et lumineuses, qui sont à la fois le relais de sa pensée et le miroir de ce que sa vue distingue. Trop attaché au réel, il ne s’est pas laissé séduire par les enjeux de l’abstraction et s’est tourné spontanément vers les germinations du règne naturel, plus spécifiquement les thèmes floraux, dans une relation quasi mystique qui établit un rapport harmonieux entre le référent et son interprétation.

            Avec la couleur la plus sonore comme socle sensitif de sa prédation picturale et une mise en page très architecturée comme garde-fou, il a pu concevoir une iconographie frémissante et volontaire, teintée de fraîcheur tonique et de notations personnelles. Une candeur et une liberté parfois enjouée y sous-tendent un univers végétal rutilant, toujours gouverné par un ordonnancement vigilant, excluant tout débordement superflu. Les composantes du tissu narratif, le plus souvent mêlées à l’humus, détachent leurs corolles et leurs pistils grossis sur des supports bigarrés, soutenus par de longues tiges droites ou recourbées, d’où émane une impression de liesse et de force maîtrisée. Un pareil foisonnement comporte cependant des variantes, sinon des allégories, dans la mesure où certaines de ces sédimentations bourgeonnantes sont couronnées par des unités sphériques qui prennent l’aspect de visages qui semblent nous dévisager de leur seule orbite, quand ce n’est pas un curieux volatile au bec crochu, qui s’installe tête-bêche en aval du tableau. Mais généralement, la trame est uniquement constellée de larges pétales d’inégales dimensions, ovoïdes, circulaires ou crénelés, qui façonnent une mosaïque polychrome ponctuée d’un essaim de signes, de particules et de pointillés, dont la conjonction porte au rêve.

            Venu jeune à la peinture dans un contexte familial favorable à l’art, Nadir Aliev opte parallèlement pour la musique, plus précisément le piano, qui en fera un concertiste recherché, auprès de sa sœur elle-même instrumentaliste reconnue, jusqu’à ce qu’un terrible accident l’immobilise plusieurs années, ne lui conservant que l’usage de la main gauche, avec laquelle il peint aujourd’hui. Alors, ayant substitué le tempo de la peinture à celui de la musique, il retrouve dans les contrepoints de la matière et les accords syncopés de la forme, les nuances codifiées de ses partitions. C’est dire si le rythme est chez lui consubstantiel à l’équilibre de ses toiles, une véritable colonne vertébrale et le symbole de la viabilité de sa quête.

            La structure prismatique de ce puissant coloriste, toujours canalisée par l’intrusion de quelques éléments géométriques stabilisateurs : carrés, rectangles ou trapèzes, pourrait nous conduire à évoquer à son endroit sa parenté avec « l’Orphisme », terme dû à Apollinaire qui prônait à propos de Robert Delaunay « le champ libre à une sensibilité native ». Mais sa franche liberté de ton, son imaginaire en éveil, qui laisse parler sa petite musique intérieure, ajoutés à sa connivence avec la nature, en marge des procédés de style et des encadrements d’Ecole, manifestent l’évidente autonomie qui guide sa main et son esprit. De même, parfois proche du groupe COBRA, par l’ardeur de son chromatisme et la réduction synthétique  de ses plans, il s’en émancipe par une approche plus élémentaire, pour rejoindre de temps à autre les vibrations linéaires en arc-en-ciel du viennois HUNDERTWASSER. Partant, à l’huile ou à l’acrylique, Nadir Aliev ne répond finalement qu’à ses propres pulsions, entre la règle et le sentiment.

            On ne saurait par conséquent définir la cohérence de cette trajectoire, sans souligner de nouveau le lien profond qu’elle entretient avec les flux naturels. Ce lien constitue le creuset de l’acte créateur, en renvoyant à la manière dont l’artiste les intègre dans son œuvre. D’une haute exigence avec lui-même, Nadir Aliev nous donne une leçon fraternelle de générosité et de lucidité, à travers les facettes d’une écriture flamboyante, qui fait du vivant avec du vivant.

                                                                                                                                   12.04.2013   

                                                                                                                         Gérard Xuriguera

                                                                                                               http://www.babelio.com/auteur/Gerard-Xuriguera/95389

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 Série « Les Fleurs porte – bonheur »                                                                                       Nadir Aliev

 L’ensemble des œuvres présentées par Nadir Aliev révèle un  style pictural très personnel, sans aucun doute proche de sa musique intérieure. Pianiste, concertiste international, de nationalité suisse, Nadir Aliev vit en Suisse depuis un terrible accident qui le privera de sa main droite.  

Il choisit tout d’abord l’acrylique puis se tourne progressivement vers la peinture à l’huile. Le thème de l’exposition, celui de la Fleur porte-bonheur, révèle une sensibilité et une force qui s’opposent, se portent et s’épanouissent avec tonicité et tendresse.

L’ensemble convoque le visiteur, l’interpelle par la vivacité et le pêle-mêle des couleurs. Certaines toiles, par la teneur en rouges, en ors et en lumières, ont le caractère liturgique d’une icône.    

C’est en revenant sans cesse aux motifs floraux que le visage symbolique de la Femme se laisse défricher, puis déchiffrer. Impromptus, traces de doute et de recherche intérieure, c’est toutefois le chemin qui semble mener vers cet idéal féminin objecté, à atteindre.

Cette poursuite passe par l’évolution de larges touches blanches et lumineuses en aplats de couleurs et, peu a peu, dans un fond bigarré, le puzzle se construit, se complété et prend force sur une tige très droite, ou dans un bouquet, les courbes s’infléchissent – l’ensemble laisse à l’œil du visiteur une impression très nette d’un faisceau parabolique, de formes géométriques.  

Hasard, ou tout simplement vérité profonde qui se fait jour, la juxtaposition de cercles, de rectangles, de trapèzes et l’agencement très structuré de certaines toiles font penser qu’une approche mathématique, presque scientifique de l’univers arrive à maturité et ainsi expose la palette s, le choix des couleurs s’affine et donne naissance à des œuvres de grande beauté faites de contrastes, de noirs, de blancs soutenant la fleur.  

Et l’on se demande si, derrière cette fleur et le choix des clairs – obscurs et des valeurs plastiques pures ne se cachent pas la synthèse dynamique de l’univers et les mouvements très actuels d’un monde contemporain en pleine effervescence.  

Jean Paulhan dit sur Braque : «  L’art est fait pour troubler. La science rassure. » (Extrait de « De la Palette à l’écriture », Paris 1946). On ne sait, ici, si Aliev ne cherche pas à nous rassurer tout en nous troublant. Dans  tout les cas, cette tension intérieure de l’art et de la science, entre déstructuration et  structuration, entre simplicité apparente et complexité du désordre contemporain, le peintre la gère à merveille et nous le prouve. Son travail pictural démontre ainsi qu’il est possible à l’homme d’extraire de la musique symphonique de l’univers et de matériaux  sonores et d’élaborer  une figure symbolique, positive, vivante, rassurante et apaisée, dont il aura orienté pour nous les contours. 

Geneviève SILVESTRO,

Docteur en science, Maitre en art et lettre

Rédacteur en chef à l’Editions des Silves,

Paris, 03.05.2012   

      “The good luck flowers” series

Nadir ALIEV

The series of paintings presenting by Nadir Aliev displays a very personal painting style , no doubt close to his “internal music”. International concert pianist of Suisse nationality Nadir Aliev has lived in Switzerland sins he has a serious accident which deprived him of the use of his right hand.

He fist chose acrylic and progressively turned to oil painting. The theme of exhibit “ The good luck flowers”  shows sensibility and strength which at the same time works  both with and against each other to finally bloom with vigor and tenderness.

The series challenges the visitors through the vivid and mixed colors. Some of the paintings through a lot of red, gold and light bring to mind the liturgical character of an icon. It’s by constant use of floral motifs that symbolic woman’s face comes to life .Impromptus, traces of doubts and inward search, it seems the way to reach the ideal feminine sulyech.

That     search goes through and evolution of large white touches and in a mixed back ground. The puzzle  takes place and completed tasks its strength on a very straight stem or in a bouquet. The whole gives to the visitor the clear impression of a parabolic beam of geometrical forms.

Chance simply reveals a deep truth , the juxtaposition of circles and rectangles as well as the strict ordering of some of the paintings make us think that a mathematical almost scientific approach to the universe matures and with more refined colors brings for art works of great beauty made of contrasts , with black and white supporting the flower.

One wonders, if behind the flowers and through the choice of colors chiaro - obscure and a simple approach is not hidden a dynamic synthesis of the universe and present trends of the contemporary world in full effervescence.

Jean Panhan said of Braque : “ L’Arte est fait pour troubler, la science rassure “ ( Extrait « De la palette à l’écriture », Paris 1946). Art disturb, science to reassure.  One does not know, if Aliev tries to reassure us while at the same time to disturb us.In any case that internal tension between art and science, between destruction and structuration , between apparent simplicity and complexity of contemporary disorder,  the painter manages it wonderfully and proves it to us. This picturial work therefore demonstrated that it is possible to extract from the universe’s symphonic music and elaborate a   symbolic, positive, lively and reassuring portrait.  

Geneviève SILVESTRO,

Docteur en science, Maitre en art et lettre

Rédacteur en chef à l’Editions des Silves,
Paris, 03.05.2012

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